Unreal
| Développeur : Ordilogic Systems | Graphismes : |
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| Éditeur : Ubi Soft | Sons et musiques : |
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| Année : 1990 | Difficulté : |
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| Genre : Action/plates-formes | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
5/10 | |
Un titre représentatif de ce qui se faisait sur Amiga : des graphismes magnifiques, des musiques absolument sublimes…
Pour vous dire à quel point la musique est chouette, je l’ai laissée tourner par erreur sur le logiciel Deliplayer, en boucle, pendant plus d’une heure (le module en question dure 1h12), sans même m’en rendre compte ! La plupart me font grésiller les oreilles après cinq minutes.
Sur le plan de la « jouabilité », en revanche, c’est un désastre. On trouve la même équipe de développement qui sera à l’origine d’Agony. Logiquement, on ressent la même impression de départ (Wouah !), et après quelques minutes, on s’ennuie comme des rats.
Ce que je reproche à Unreal, la même chose qu’à Shadow of the Beast, d’ailleurs : le personnage, mal animé, tire la longe ; l’action est répétitive… En fait, ce jeu est à prendre comme une démo sophistiquée ou une œuvre d’art, peut-être, pour son atmosphère.
Les séquences « action/plates-formes » alternent avec des phases de tir en 3D sur le dos d’un dragon, impressionnantes mais plutôt confuses et répétitives, encore une fois. Oserais-je le qualifier d’ancêtre à Panzer Dragoon ? Tiens, j’ai osé.
Pour ceux qui ont le courage d’arriver au bout. Vous pourrez voir un énigmatique to be continued, annonciateur d’une suite. Sachez qu’aujourd’hui, on attend toujours.
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