« Il n’y a pas de bien ni de mal, il n’y a que le pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher. »
Harry Potter Titre :
Harry Potter and the Philosopher’s Stone
Harry Potter à l’école des sorciers

Cycle : Harry Potter

Auteur : J. K. Rowling

Année : 1997

Score :

Comme tout le monde, j’ai vu à la télé ces émeutes de jeunes ados, à la Fnac, après chaque sortie d’un nouveau tome d’Harry Potter. On pouvait observer ces troupeaux de dindes, en train de se marcher dessus, de se ruer dans les escalators en sens inverse pour arriver les premiers devant le précieux sésame. J’imagine que l’individu qui connaissait la fin du dernier volume avant tout le monde passait pour un caïd dans la cour de récré… Une dinde alpha ?

Pour ma part, je suis longtemps resté dans le camp des réfractaires devant toute cette agitation. Ça ne donnait pas très envie, je dois dire. Jusqu’à ce que je me rende compte que nous avions une chose en commun, nous, les goguenards, c’est de ne pas avoir lu les livres.

L’histoire, s’il est utile de la rappeler, dépeint la vie dans une école de magie en Angleterre et les péripéties d’un groupe d’écoliers.
La menace d’un sorcier maléfique (qu’il ne faut pas nommer) plane en arrière-fond, et chaque épisode (qui s’étale à peu près sur une année scolaire) est l’occasion pour Harry et ses amis de déjouer l’une de ses machinations diaboliques.

C’est léger, prenant, ça se lit vite. La fin est toujours imprévisible. C’est le genre de bouquin facile à lire en VO. Oui voilà, pour apprendre l’anglais. C’est un bon alibi, non ?