|
Tout commença en France, quand un vieux savant, le professeur Gudérian, dans son garage, fabriqua une machine à voyager dans le temps…
Il y a seulement deux petits détails à savoir : elle vous transporte dans la préhistoire uniquement et c’est un aller simple, sans retour possible !
Malgré ces limitations, cette machine rencontra un certain succès. Il y a beaucoup de gens un peu en décalage avec leur époque, ou qui ont du mal à s’intégrer en société… des barjos on peut les appeler, et ils eurent tôt fait de se bousculer devant la maison du vieux pour s’exiler, à jamais, vers un monde qu’ils imaginaient plus simple, sans lois, sans frontières, sans mœurs rigides et sans téléphones portables.
Bon, là on se dit : c’est une bonne idée. L’introduction des personnages prend du temps mais ça promet des moments intéressants, quand ces joyeux psychopathes se retrouveront de l’autre côté, et qu’ils finiront, tôt ou tard, par se mettre sur la figure…
Mais voilà, dommage, à leur arrivée dans le pliocène, ça part en sucette : ils se retrouvèrent réduits en esclavage par une bande d’extra-terrestres télépathes !
Ah, ouais…
Non, je n’ai pas accroché !
|
The Many-Colored Land
Le Pays multicolore