Tritus
| Développeur : Davin Pearson | Graphismes : |
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| Éditeur : F1 Licenceware | Sons et musiques : |
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| Année : 1994 | Difficulté : |
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| Genre : Arcade | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 à 3 simultanés | Note : |
8/10 | |
Titrus est une variante déjantée de Tetris, conçu pour trois joueurs (l’ordinateur peut contrôler les positions vacantes, si besoin). Vous recevez la même suite de formes à empiler que vos adversaires, et selon le nombre de lignes que vous parviendrez à former, différents effets néfastes viendront perturber le jeu de la « victime » (le joueur désigné par le marqueur « kill », en bas de l’écran), comme lui ajouter des lignes incomplètes, ou lui envoyer une petite bébête grignoter ses affaires, lui laissant plein de trous à colmater. Il est possible d’écraser la bestiole sous une brique, elle déposera alors une petite trace de sang indélébile en souvenir. Comme c’est mignon !
Une fois un compte à rebours passé, le joueur « victime » passe le chapeau à l’un de ses adversaires, qui deviendra, pendant un laps de temps donné, l’heureux destinataire des prochaines crasses produites par ses collègues, en composant des lignes. Évidemment, former plus de lignes à la fois (trois, voire quatre) augmente le degré de nuisance. Par exemple, jouer dans le noir, recevoir des briques « spéciales » (encombrantes) ou la plus rigolote : faire disparaître les murs de démarcation entre les aires de jeu, et livrer vos propres briques directement chez les voisins.
Au moment où un joueur est sur le point de perdre, en guise de deus ex machina, une raquette surgit en haut de sa partition de l’écran, pour une partie de casse-briques ! Voilà qui est bien pratique pour dégager un peu d’espace, mais attention : si vous restez trop longtemps dans ce mode, tandis qu’un deuxième larron atteint lui-aussi le haut de l’écran, ce sera un game over pour tous les deux, losers !
Enfin, d’après ce que j’ai compris, le niveau de l’ordinateur s’adapte au vôtre. Si vous gagnez une partie, attendez-vous à dérouiller à la suivante.
Note : Le jeu se lance uniquement depuis le Workbench.
Si une variation moderne vous intéresse, allez voir Tricky Towers (2016).
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