James Pond: Underwater Agent
| Développeur : Vectordean | Graphismes : |
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| Éditeur : GBH | Sons et musiques : |
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| Année : 1990 | Difficulté : |
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| Genre : Plates-formes | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
7/10 | |
Docteur Maybe pollue les océans, il faut l’arrêter ! C’est une mission pour l’agent double-bubulles-sept : James Pond.
Minute culturelle : James Pond, underwater agent et licence to thrill sont des jeux de mots vaseux en anglais, en référence à une série populaire de romans et de films. Ouais, j’ai mes moments.
Vous aidez donc l’agent en immersion (oh oh oh) à remplir diverses missions écolo : libérer des homards, sauver des poissons pimpants ou des phoques, ramasser les détritus qui jonchent le fond des mers (canettes, lingots d’or… ces humains sont dégueulasses), lutter contre la pollution aux hydrocarbures ou la déforestation (à votre manière)…
Les similarités avec Bubble Bobble sont nombreuses : vous crachez des bulles sur les ennemis, ramassez des monceaux d’objets inutiles et de toutes les couleurs, pour marquer des points ; enfin si vous mettez trop de temps pour finir un tableau, la vitesse s’accélère et un poisson louche en imper se met à vous coller au train (à la manière de ce très cher baron Von Blubba !). On relève également, bien sûr, l’influence de Super Mario Bros, avec ces coups de tête sur des briques pour libérer un bonus, ou les « tubes » menant à des salles secrètes. D’après Hall of Light, d’autres aspects seraient empruntés au jeu Flood.
Malgré toutes ces influences, James Pond jouit d’une personnalité propre. Sa principale originalité, c’est de se passer sous l’eau. On n’est pas trop embêté par la gravité.
Les niveaux sont bien ficelés, variés, peuplés de petites bestioles « mignonnes » et le ton est humoristique. Prenez quand même le temps de lire (et de traduire) le briefing, en début de mission, sans quoi vous ne saurez pas où aller. Je peux comprendre qu’on le préfère à sa suite plus conformiste (Robocod), mais ce n’est pas mon cas.
Un jeu d’épreuves sportives dérivé est sorti en 1992 : The Aquatic Games: Starring James Pond and the Aquabats.
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